Ce processus de renouvellement m'a fait repenser à ma saison de course en 2018 et à la manière dont celle-ci se connecte à mes heures passées sur les simulateurs. Voici quelques éléments clés :
- Passion pour les jeux de course : Mon intérêt pour le sport automobile découle de ma pratique des jeux de course.
- Découverte de séries : En jouant, j'ai découvert des compétitions comme le Super GT japonais grâce à Gran Turismo.
- Ma première voiture : J'ai piloté une Ginetta G40 dans une série pour débutants, un outil d'apprentissage idéal avec ses 135 ch.
- Ressenti de la compétition : Mon inquiétude initiale que la vraie course gâcherait le sim-racing s'est estompée, renforçant mon appréciation pour les simulations modernes.
Dans la réalité, le niveau de talent sur la grille était comparable à une course multijoueur chaotique, me plaçant dans le milieu du peloton avec des erreurs similaires à celles que je commets en simulation. Cependant, le sim-racing m'a permis de maîtriser de nouveaux circuits, comme Snetterton, où j'ai obtenu mon meilleur résultat de la saison malgré tout.
Malheureusement, je ne retournerai pas sur la piste de sitôt ; le coût d'entrée dans la série Ginetta actuelle dépasse mes moyens. Mais je pourrai toujours conduire ma G40 sur des circuits dans des jeux comme Forza Motorsport et Automobilista 2. Cela suffira pour le moment.
Cet article explore comment le sim-racing peut enrichir l’expérience de conduite des pilotes, soulignant le lien entre les jeux de course et le sport automobile. Bien que l'auteur ait rencontré des limitations financières pour continuer dans la réalité, il trouve satisfaction dans la simulation.