Surprise sur le circuit de Navarra ! The Stig, célèbre pilote masqué, semblait désorienté à bord de l'Aston Martin Vantage. Loin devant, j'exploitais toute la puissance de la Porsche 911 GTS lorsque The Stig me dépassa comme un éclair dans la Vantage. À mon arrivée, ni Aston orange ni pilote n'étaient visibles, seules des traces de pneus témoignaient de l'action intense.
Équipée de 656 chevaux grâce à un programme moteur refait à neuf, la Vantage s'impose. Plus volumineuse, elle affiche un style exotique digne de ses 165 000 £. Sa silhouette n'attend personne et s'affirme sur la piste, déclenchant l'admiration dans les stands.
La 911 GTS, autrefois critiquée pour son moteur arrière capricieux, surprend par sa facilité de conduite. Agile et stable, elle joue la carte de la douceur avec un équilibre parfait dans ses manœuvres. Pourtant, elle perd en singularité, devenant une version plus sage de ses aînées 911 Turbo.
La M4 CS promettait un mélange quotidien et intense. Avec 543 chevaux et diverses améliorations, son potentiel s'annonce sur piste. Mais la réalité déçoit : sensation de direction vague et résistance au virage frustrent les attentes. Les pneus spéciaux compliquent la tâche, même après montée en température.
Malgré des critiques éparses, la Vantage vise l'excitation pure, là où la BMW M4 CS peine à convaincre par son imprécision. La 911 GTS, bien que performante, manque de caractère distinctif face à des rivales passionnées.
Résumé : La nouvelle Vantage s'affirme comme une supercar résolument intrépide, tandis que la Porsche 911 GTS séduit par sa maîtrise mais manque de charme. La BMW M4 CS, quant à elle, échoue à inspirer l'enthousiasme escompté.
![]() | L'article présente une comparaison approfondie, mais il semble que la M4 ait du mal à trouver sa place parmi une concurrence aussi féroce. |
![]() | Une lecture intéressante. Chaque voiture a ses points forts, même si les problèmes de rétroaction de la M4 soulèvent quelques inquiétudes parmi les critiques. |